dimanche 30 mai 2021

Ou est le T

Il faut trouver où mettre le T manquant sur l'affiche 

On se retrouve à St Jacut de la mer le week-end du 5 et 6 juin



Fête des mères

 Une maman qui travaille pour les petits Népalais en réalisant des pull-overs.

Bonne fête

Merci à toutes nos tricoteuses de Fougère, St Malo.,St Cast

Bonne fête à vous toutes.



Le Népal, à court de vaccins contre le Covid-19, lance un appel à la communauté internationale

 

Le Premier ministre KP Sharma Olip a demandé jeudi de fournir au Népal près de 40 millions de doses de vaccins pour combattre une nouvelle vague de contaminations qui a mis sous pression les hôpitaux de ce pays pauvre.

« Nous faisons appel à la communauté internationale pour que les vaccins soient disponibles (…) Nous sommes prêts à les acheter si des dons ne sont pas possibles ». C’est l’appel à l’aide qu’a lancé le Premier ministre népalais KP Sharma Olip à la presse ce jeudi. Il a demandé à la communauté internationale de fournir à son pays près de 40 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 pour combattre une nouvelle vague de contaminations qui a mis sous pression les hôpitaux.

Ce pays pauvre de près de 30 millions d’habitants n’a jusqu’à présent reçu qu’à peine plus de trois millions de doses de différentes provenances. « C’est difficile de recevoir de petites quantités (de vaccins) car des doubles doses sont nécessaires. Nous espérons donc que des vaccins nous parviendront en grandes quantités. Nous devons vacciner environ 20 millions de personnes, nous avons donc besoin de 40 millions de doses », a souligné le Premier ministre.

La Chine va fournir un million de doses

Le Népal a connu une hausse des contaminations début avril qui a culminé à la mi-mai avec plus de 9.000 cas par jour. Le nombre de contaminations a commencé à baisser lentement mais le système de santé demeure sous pression. « Nous ne sommes pas dans une situation où nous pouvons dire que (les contaminations) sont en baisse », a relevé le Premier ministre.

Le Népal avait commencé sa campagne de vaccination en janvier avec un million de doses d’AstraZeneca fournies par l’Inde. Mais l’Inde, confrontée à une flambée violente de l’épidémie, avait interdit les exportations de vaccins parce qu’elle était elle-même en situation de pénurie, une situation qui a durement touché les autres pays de la région

La Chine a donné au Népal 800 000 doses de Sinopharm tandis que 348 000 doses d’AstraZeneca ont été livrées au pays dans le cadre duprogramme Covax d’aide aux pays pauvres. Selon les médias, 13 millions de doses devraient être envoyées au Népal par le système Covax. Pékin a promis un autre million de doses.

Le système Covax, un groupement international créé pour une distribution équitable des vaccins contre le Covid, a besoin de deux milliards de dollars supplémentaires d’ici au 2 juin pour arriver à vacciner 30% de la population dans 92 pays pauvres.

vendredi 28 mai 2021

Préparation pour le 5 et 6 juin

 On sera prêt pour vous accueillir le 5 et 6 juin pour la journée des plantes version simplifiée.

Ne pas oublier son masque









mercredi 26 mai 2021

Beau travail

Raj Kumar vient de terminer un dessin de Bouddha RAJ Kumar est du village à côté de Ghormu, très bon élève, il prépare son Bac,également passionné de football et il possède un très bon coup de crayon

Anniversaire de Bouddha

L'anniversaire de Siddhartha Gautama (Bouddha) est une fête traditionnelle du bouddhisme. Au-delà de la seule célébration de la naissance du Bouddha historique, Vesak célèbre les trois grandes étapes de son existence : sa naissance, son éveil (Bodhi) et sa mort (Parinirvana). Vesak est le plus souvent célébré à la pleine lune de mai, plus rarement dans les premiers jours du mois de juin, dans le calendrier grégorien. La date précise varie cependant selon les années et les pays considérés. Il est traditionnellement célébré dans l'Asie de l'Est le 8e jour du 4e mois du calendrier lunaire chinois. C'est un jour de fête officiel à Hong Kong, à Macao, à Singapour et en Corée du Sud.

lundi 24 mai 2021

Pourquoi l'alpiniste Marc Batard a fait demi-tour sur l'Annapurna

 

l'Annapurna

Marc Batard souhaite mettre en place le Sisha, soit le premier « sommet international sur la sécurité de la haute altitude ». (P. Nuru Sherpa)
Marc Batard souhaite mettre en place le Sisha, soit le premier « sommet international sur la sécurité de la haute altitude ». (P. Nuru Sherpa)

Marc Batard, qui se prépare à gravir l'Everest pour ses 70 ans l'an prochain, a dû faire demi-tour avant d'atteindre le sommet de l'Annapurna en raison des conditions dangereuses. L'alpiniste français, très soucieux de la sécurité, nous explique pourquoi.

commenter

« Avec les valeurs de sécurité que je défends, il était de mon devoir de faire demi-tour. » Arrivé à 6 000 mètres le 16 avril dernier, l'alpiniste français Marc Batard a dû renoncer au sommet de l'Annapurna (8 091 m). Dans une vidéo publiée sur sa page Facebook, on peut voir en direct l'émotion de son compagnon de cordée népalais Pasang Nuru Sherpa, de devoir abandonner ce projet. « On a déjà perdu Muhammad(Ali Sadpara, leur troisième compagnon de cordée disparu sur le K2 cet hiver), on ne pouvait pas prendre plus de risques », témoigne-t-il sans regret avec le recul.

Après l'Aconcagua l'année dernière et le K2 en janvier, le vétéran poursuivait sa préparation pour l'ascension de l'Everest en mai 2022, où il souhaite fêter ses 70 ans. Un projet qu'il prépare depuis plusieurs années avec l'objectif de sensibiliser et de réduire les risques de la haute montagne. Son exploit de gravir le plus haut sommet du monde en 1988 en moins de 24 heures sans oxygène, lui a valu son surnom, le Sprinteur de l'Everest

« C'est encore plus difficile de renoncer alors que nous étions en pleine forme physique et de regarder les autres se rendre au sommet aux dépens de la sécurité, regrette l'alpiniste français. Mais nous n'avons rien à prouver, Pasang a gravi treize fois l'Everest, moi deux. C'était la meilleure décision à prendre. »

« Y aller, c'était jouer à la loterie »

C'est donc à 6 000 mètres d'altitude que Marc Batard renonce à s'engager dans le « couloir de la guillotine », un passage qu'il redoutait. « Y aller, c'était jouer à la loterie. On voyait des chutes de sérac (blocs de glace en suspension) très régulières », certifie l'himalayiste

Alors qu'une agence népalaise s'était engagée à équiper la voie principale du versant nord, elle a finalement changé d'itinéraire cette année pour privilégier un accès plus simple, mais plus dangereux. « Les cordes fixes n'étaient pas du tout sécurisées, dénonce-t-il. Bien que les sherpas aient réussi le K2 en hiver, ils manquent de technique. » Pas suffisamment équipé pour ouvrir une voie par lui-même, le duo a préféré abandonner.

L'alpiniste-réalisateur Bertrand Delapierre et l'aspirant-guide Yorick Vion ont fait le choix inverse. S'ils étaient au départ partis tous les quatre, les deux binômes se sont séparés en cours de route. « On a longuement hésité avant de grimper. Si c'était à refaire, pour l'avoir vu de l'intérieur, on ne le referait pas, assure Bertrand Delapierre. On est passé à travers un chaos de glace énorme tombé la veille et un bloc est tombé à moins d'un mètre d'un sherpa à côté de nous, il aurait pu y avoir soixante morts d'un coup. »

« Lachenal doit se retourner dans sa tombe »

Marc Batard dénonce la « machine à fric » cachée derrière ces expériences dangereuses : « On voit des hélicoptères apporter des cordes et de l'oxygène à 7 000 mètres à des grimpeurs pas assez expérimentés ». Marc Batard pointe du doigt le manque de vigilance des agences sur le niveau des alpinistes, surtout sur l'Annapurna, « un des 8 000 les plus dangereux de la planète ».


Pourquoi l'alpiniste Marc Batard a fait demi-tour sur l'Annapurna

Marc Batard souhaite mettre en place le Sisha, soit le premier « sommet international sur la sécurité de la haute altitude ». (P. Nuru Sherpa)
Marc Batard souhaite mettre en place le Sisha, soit le premier « sommet international sur la sécurité de la haute altitude ». (P. Nuru Sherpa)

Marc Batard, qui se prépare à gravir l'Everest pour ses 70 ans l'an prochain, a dû faire demi-tour avant d'atteindre le sommet de l'Annapurna en raison des conditions dangereuses. L'alpiniste français, très soucieux de la sécurité, nous explique pourquoi.

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« Avec les valeurs de sécurité que je défends, il était de mon devoir de faire demi-tour. » Arrivé à 6 000 mètres le 16 avril dernier, l'alpiniste français Marc Batard a dû renoncer au sommet de l'Annapurna (8 091 m). Dans une vidéo publiée sur sa page Facebook, on peut voir en direct l'émotion de son compagnon de cordée népalais Pasang Nuru Sherpa, de devoir abandonner ce projet. « On a déjà perdu Muhammad(Ali Sadpara, leur troisième compagnon de cordée disparu sur le K2 cet hiver), on ne pouvait pas prendre plus de risques », témoigne-t-il sans regret avec le recul.

Après l'Aconcagua l'année dernière et le K2 en janvier, le vétéran poursuivait sa préparation pour l'ascension de l'Everest en mai 2022, où il souhaite fêter ses 70 ans. Un projet qu'il prépare depuis plusieurs années avec l'objectif de sensibiliser et de réduire les risques de la haute montagne. Son exploit de gravir le plus haut sommet du monde en 1988 en moins de 24 heures sans oxygène, lui a valu son surnom, le Sprinteur de l'Everest.

« C'est encore plus difficile de renoncer alors que nous étions en pleine forme physique et de regarder les autres se rendre au sommet aux dépens de la sécurité, regrette l'alpiniste français. Mais nous n'avons rien à prouver, Pasang a gravi treize fois l'Everest, moi deux. C'était la meilleure décision à prendre. »

Marc Batard a creusé une grotte de neige à 5 650 mètres pour la nuit alors qu'ils étaient partis de l'Annapurna Base Camp (4 130 m). (M. Batard)
Marc Batard a creusé une grotte de neige à 5 650 mètres pour la nuit alors qu'ils étaient partis de l'Annapurna Base Camp (4 130 m). (M. Batard)

« Y aller, c'était jouer à la loterie »

C'est donc à 6 000 mètres d'altitude que Marc Batard renonce à s'engager dans le « couloir de la guillotine », un passage qu'il redoutait. « Y aller, c'était jouer à la loterie. On voyait des chutes de sérac (blocs de glace en suspension) très régulières », certifie l'himalayiste.

Le couloir de glace risqué, arpenté par des grimpeurs. (B. Delapierre)
Le couloir de glace risqué, arpenté par des grimpeurs. (B. Delapierre)

Alors qu'une agence népalaise s'était engagée à équiper la voie principale du versant nord, elle a finalement changé d'itinéraire cette année pour privilégier un accès plus simple, mais plus dangereux. « Les cordes fixes n'étaient pas du tout sécurisées, dénonce-t-il. Bien que les sherpas aient réussi le K2 en hiver, ils manquent de technique. » Pas suffisamment équipé pour ouvrir une voie par lui-même, le duo a préféré abandonner.

L'alpiniste-réalisateur Bertrand Delapierre et l'aspirant-guide Yorick Vion ont fait le choix inverse. S'ils étaient au départ partis tous les quatre, les deux binômes se sont séparés en cours de route. « On a longuement hésité avant de grimper. Si c'était à refaire, pour l'avoir vu de l'intérieur, on ne le referait pas, assure Bertrand Delapierre. On est passé à travers un chaos de glace énorme tombé la veille et un bloc est tombé à moins d'un mètre d'un sherpa à côté de nous, il aurait pu y avoir soixante morts d'un coup. »

« Lachenal doit se retourner dans sa tombe »

Marc Batard dénonce la « machine à fric » cachée derrière ces expériences dangereuses : « On voit des hélicoptères apporter des cordes et de l'oxygène à 7 000 mètres à des grimpeurs pas assez expérimentés ». Marc Batard pointe du doigt le manque de vigilance des agences sur le niveau des alpinistes, surtout sur l'Annapurna, « un des 8 000 les plus dangereux de la planète ».

La queue pour arriver au sommet de l'Annapurna, capturée le 17 avril par l'alpiniste polonais. (K. Kowalewski)
La queue pour arriver au sommet de l'Annapurna, capturée le 17 avril par l'alpiniste polonais. (K. Kowalewski)

« Tout le monde est conscient du danger mais vu les enjeux financiers derrière... Les sherpas grimpent l'estomac serré, ils n'ont pas le choix c'est leur boulot. Les clients se fixent des objectifs trop difficiles et les agences cautionnent pour le business,dénonce l'alpiniste qui n'a pas sa langue dans sa poche. Louis Lachenal doit se retourner dans sa tombe (le premier à avoir gravi un sommet de plus de 8 000 m à l'Annapurna avec Maurice Herzog en 1950, expédition controversée par la suite, ndlr). C'est un miracle qu'il n'y ait pas eu plus d'accidents. »

L'alpiniste chevronné a tout de même poursuivi son expédition au Népal par une reconnaissance en hélicoptère sur l'Everest pour envisager d'ouvrir un passage moins dangereux que l'Icefall, lieux de nombreux drames. « Je ne suis pas là pour enfoncer les guides mais pour faire progresser la sécurité et tirer des leçons positives », assène Marc Batard, plus que jamais soucieux de l'application des bonnes règles de sécurité en haute montagne.

publié le 12 mai 2021 à 17h05mis à jour le 13 mai 2021 à 08h45

30 degrés

 Météo de ce lundi 24 mai à Katmandou, juste un peu plus chaud quand Bretagne !!!!



dimanche 23 mai 2021

Blouses pour le Népal

 Bonne initiative de Pierre avec les professionnels dentistes de St Malo et de sa région.

Un très grand nombre de blouses, pantalons ont été donné à l'association LWNF, tout ce matériel devrait être envoyé en Août au Népal.







samedi 22 mai 2021

Espagne maintenant

 Excellent travail: Dawa Futi Sherpa, ambassadrice du Népal pour l'Espagne a apporté 5 tonnes d'équipements de santé via un vol charter fourni par le gouvernement espagnol au Népal. C'est un véritable esprit et un acte humble de notre ambassadeur. ❤️



Aide de la Suisse

 Grande aide de l'Europe: le gouvernement suisse a fourni des fournitures médicales d'une valeur de près de Nrs. 93,15 crores ( 6,549,295 euros) dont 40 ventilateurs, concentrateurs d'oxygène, kit de test et équipements de protection au gouvernement népalais. ❤️ #Merci




mercredi 19 mai 2021

La terre bouge au Népal

 Aujourd'hui tremblement de terre

Today's Lamjung Earthquake Detail: 

Four earthquakes  

-  5.8 ML at 5:42 AM, 

-  4.0 ML at 8:16 AM,

-  4.1 ML at 8:17 AM 

-  5.3 ML at 8:26 AM 


And More than 50 small aftershocks have occurred as per local authorities and NERMC. 


6 people are injured. More than 102 houses are damaged including 2 kitchens of District Police Office and quarter of  District Court's Judge. More than 11 Animal-shed (गोठ) have been damaged & some domestic animals are also injured. 


Source: NEMRC & District Police


mardi 18 mai 2021

15 jours de confinement en plus

 La situation au Népal oblige un confinement sévère. La population doit rester à la maison, les rues sont contrôlées par la police et l'armée.









samedi 15 mai 2021

NOTRE RDV PLANTES

Nous espérons pouvoir organiser le week end plantes à St Jacut de la Mer

Cette année il va être organisé à l'entrée de la presqu'île de St Jacut en face du camping des Hotieux route des bourgneufs étant donné que l'abbaye et ses jardins seront encore fermés. 

Ce week-end est important pour l'association pour différentes raisons : une rentrée d'argent pour les projets de l'association, les rencontres avec les membres de l'association et aussi de nouvelles personnes, les échanges d'idées et les propositions de nouveaux projets et de nouvelles actions. 

Nous espérons que vous serez présents à ce rendez-vous, la nouveauté cette année devrait être les repas Népalais à emporter le samedi cuisinés par Kanchan et Pushpa. 




jeudi 13 mai 2021

Nouvelles de nos proches au Népal

 Moment difficile pour le Népal, la covid-19 s'installe dans toutes les régions, hôpitaux surchargés, manque de bouteilles d'oxygène....

Que faire ? 

L'association LWNF ne sait pas comment elle pourrait venir en aide, impossible d'envoyer de l'argent les banques sont fermées. Les compagnies aériennes ont annulé tous les vols.

Que faire ?????

Du côté de Ghormu toutes les familles vont bien. Nous avons quelques jeunes étudiants qui sont bloqués à la capitale nous avons réussi à leur débloquer de l'argent avant la fermeture des banques. 

Tous les examens sont reportés, même situation pour Yubraj bloqué au Bangladesh (situation aussi catastrophique qu'en Inde).

Nous souhaitons un bon rétablissement aux parents atteints de la covid19 d'un de notre grand ami Népalais qui ne peuvent se rendre à l'hôpital faute de place. 

mercredi 12 mai 2021

Covid-19: La Chine va marquer la frontière avec le Népal au sommet de l'Everest

 Les autorités chinoises craignent une résurgence de l'épidémie de coronavirus sur leur sol à cause de contaminations venues de l'étranger.

CORONAVIRUS -La Chine va installer une “ligne de démarcation” au sommet de l’Everest afin d’éviter tout risque de contamination au covid-19 par des alpinistes en provenance du Népal.

La Chine, premier pays frappé par la pandémie dès la fin de 2019, a largement endigué la maladie dès le printemps 2020 et redoute désormais un retour des infections depuis l’étranger. Alors que les frontières sont pratiquement fermées depuis mars 2020, le pays entend désormais étendre sa surveillance au sommet enneigé du Toit du monde, qu’il partage avec le Népal à 8.848 mètres d’altitude.


Des guides de haute montagne vont ainsi installer une ligne de démarcation au sommet avant d’autoriser des alpinistes à attaquer l’ascension du côté chinois (par le nord), a rapporté dimanche 9 mai l’agence Chine nouvelle. Selon l’agence de presse officielle, l’annonce a été faite lors d’une conférence de presse par le chef de l’Association tibétaine d’alpinisme.

Le Népal durement touché par le covid-19, jusqu’aux sommets himalayens

Chine nouvelle n’a pas précisé comment Pékin entendait concrètement marquer son territoire sur l’étroit sommet de la plus haute montagne du monde, où seuls quelques alpinistes peuvent tenir en même temps.

Côté népalais, le président de l’Association d’alpinisme locale a d’ailleurs fait part de ses doutes. “Je ne suis pas au courant de la décision (chinoise) mais il n’y a qu’un seul sommet et il serait pratiquement impossible de créer une séparation entre des alpinistes des deux côtés”, a déclaré à l’AFP le président de l’Association népalaise d’alpinisme, Santa Bir Lama.

Côté chinoise, des responsables tibétains cités par l’agence Chine nouvelle ont assuré qu’ils prendraient “les mesures les plus strictes de prévention épidémique” pour éviter tout contact avec des grimpeurs venus du sud.

Ces mesures chinoises sont annoncées alors que du côté népalais de la montagne, plus de 30 évacuations médicales du camp de base situé à 5.364 mètres d’altitude ont déjà eu lieu depuis le début de la saison, certains alpinistes s’étant révélés porteurs du coronavirus.

Le Népal, voisin de l’Inde, est durement frappé par une deuxième vague épidémique, alors que l’État himalayen comptait relancer son tourisme cet été après une saison 2020 réduite à néant.


mardi 11 mai 2021

Fête des Mères

 Le 5 juin est la Fête des Méres au Népal, en ce moment difficile nous souhaitons une tres belle journée a toutes ces Mamans qui sont vraiment exceptionnelles.

BONNE FETE












 

lundi 10 mai 2021

Une incroyable JUSTINE

 Justine fait partie de l'association LWNF., il y a 3 ans elle était avec nous au Népal et elle avait sympathisé avec les habitants de Ghormu.

JUSTINE se lance encore un défi et cela n'est pas son premier, la semaine prochaine elle prend un départ de Jugon les lacs pour la destination de la Laponie pour rendre visite un peuple de nomade les Samis.

4500 à 5000 kilomètres à parcourir !!!!! On te souhaite Bont VENT




samedi 8 mai 2021

Népal : scandale des faux tests PCR aux portes de l’Everest !

 Un laboratoire privé vendait des tests PCR négatifs pour 60 Euros. Alors que les montagnes du Népal sont rouvertes aux touristes, cette information fait craindre le pire quand à la réalité de l’épidémie dans le pays.

Alors que ce n’est plus un mais au moins deux alpinistes qui ont été évacués du camp de base de l’Everest à cause de leur contamination au covid-19, un scandale a été dénoncé ces jours-ci au Népal. Quelques 120 personnes ont été arrêtées à l’aéroport de Katmandou. Elles cherchaient à embarquer dans des avions en présentant de faux résultats négatifs de tests PCR (lien en anglais). Il s’agissait principalement de travailleurs désireux de quitter le pays.

Un faux test PCR au Népal pour 60 Euros

Pour quelques 60 Euros pièce, un laboratoire vendait un test PCR négatif à qui voulait bien l’acheter. Ces tests négatifs sont indispensables pour quitter le Népal. Mais ils sont aussi obligatoires pour voyager dans le pays, et notamment pour rejoindre Lukla. Porte d’entrée de la vallée de l’Everest. Ce phénomène n’est pas nouveau. Il y a quelques mois, la compagnie Nepal Airlines s’était vue infligé plusieurs semaines de suspension de vol par les autorités chinoises. A plusieurs reprises, des passagers supposément négatifs à leur départ du Népal s’étaient révélés positifs à leur arrivés à Hong-Kong.

Avec quelques 1.000 personnes aujourd’hui stationnées au camp de base de l’Everest, certaines qui vont et viennent dans toute la vallée, d’autres qui ne tarderont pas à repartir aux quatre coins du monde, l’empressement des autorités népalaises à faire redémarrer le tourisme de haute altitude est vivement critiqué. D’autant que la situation de la pandémie dans le pays n’est pas à l’amélioration. Plusieurs hôpitaux sont en grande difficulté pour faire face à l’afflux de patients. Autre source de polémique : la juxtaposition de faits qui interpellent. Plusieurs établissements du pays font état de difficultés d’approvisionnement en oxygène pour leurs malades. Dans le même temps, quelques 4.000 bouteilles d’oxygène destinées aux alpinistes patientent sagement au camp de base de l’Everest. La question de l’éthique et de l’industrie des expéditions est décidemment d’actualité ce printemps