mardi 28 février 2017

Puspha en mission de nettoyage

Puspha est en formation pour devenir guide trekking au Népal, avec ses amis de classe, ils se sont rendus à une invitation du ministère du tourisme pour une journée de nettoyage dans les alentours de Pashupati.

Puspha vient de passer son niveau 10 avec succès a l'Alliance Française






lundi 27 février 2017

Loshar

Superbe journée a Budhanath (Bouddha stupa)  Katmandou,  


















Repas francophone

On ne parle pas Anglais
On ne parle pas Népalais
On ne parle pas Tamang
et pas de téléphone a table





                                           Pas facile de manger avec Annick et Baje

Journée de fête au Nepal LOSAR


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Losar  est le nom de la fête du Nouvel An tibétain (tibétain : བོད་ཀྱི་ལོ་གསར།,)
. Losar signifie littéralement nouvelle année (lo = année, gsar = nouveau). Avec le festival de la Grande Prière (Monlam) fondé par Tsongkhapa en 1409, c'est l'une des deux fêtes bouddhistes les plus importantes au Tibet.


Origines[modifier | modifier le code]

Les fêtes du Nouvel An ont une origine prébouddhique remontant au premier roi tibétain Nyatri Tsenpo, dont le règne débuta en l’an -127 (av. J.-C.). L'année de son intronisation marque la première année du calendrier tibétain, c'est donc en son honneur qu'est célébré le Losar.



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samedi 25 février 2017

bonne fête de Shivaratri

Le dieu Shiva, troisième membre de la Trimûrti hindoue, est célébré durant sa Grande Nuit, essentiellement sous sa forme du symbole phallique qu'est le Shiva Lingam. Le Maha Shivaratri a lieu le treizième jour du mois de Mâsi. En fait, chaque mois comporte une Shivaratri, celle de Mâsi étant la plus importante.
 

                    


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vendredi 24 février 2017

Mi-insecte mi-champignon, à la découverte du Viagra de l'Himalaya

Chaque année, de mai à juin, les villageois népalais et tibétains se ruent à 4 000 mètres d’altitude pour cueillir le yarsagumba, réputé pour ses vertus aphrodisiaques, ce curieux hybride entre l’insecte et la plante voit son cours augmenter à mesure qu’il se raréfie. Pour un kilo, compter 70 000 euros. 


Le "Viagra de l’Himalaya" peut se négocier en Chine jusqu’à 70 000 euros le kilo (Crédit: Wikimedia Commons)
Le "Viagra de l’Himalaya" peut se négocier en Chine jusqu’à 70 000 euros le kilo (Crédit: Wikimedia Commons)
Au coup de pistolet, dont l’écho va buter sur la formidable muraille des monts himalayens, l’immense foule des Népalais rassemblés dans l’attente de ce signal se lance instantanément à l’assaut des prés d’altitude. La référence à la ruée vers l’or n’est pas exagérée. Pour ces gens qui, de Katmandou aux villages de la frontière occidentale du pays, ont quitté leurs foyers, c’est bien de l’or qu’ils sont venus chercher ici, à plus de 3 000 mètres d’altitude. Mais un or vraiment spécial : le yarsagumba (du tibétain signifiant "plante estivale, insecte hivernal"). 

Du début mai à la fin juin, ils sont ainsi des dizaines de milliers à espérer gagner en deux mois au moins l’équivalent de leur revenu annuel (environ 600 euros). Et ce, en dénichant le maximum de ces étranges hybrides fongiques surnommés "Viagra de l’Himalaya" pour leurs vertus – entre autres – aphrodisiaques, et qui peuvent se négocier en Chine jusqu’à 70 000 euros le kilo (près du double du prix de l’or). 

​La formation de cet "or" semble avoir été imaginée par un scénariste de films zombies. C’est l’histoire d’un champignon parasite dont les spores toxiques tuent et momifient une larve se trouvant dans la terre. Le champignon traverse alors la tête de la chenille et sort du sol à la fonte des neiges. En une saison, un animal s’est métamorphosé en plante médicinale !

Le yarsagumba,entre l'insecte et le champignon (Crédit: Wikimedia Commons)
Le yarsagumba,entre l'insecte et le champignon (Crédit: Wikimedia Commons)

L’explosion du yarsagumba a transformé l’économie du plateau tibétain

Les montagnards népalais, comme leurs voisins tibétains et chinois, connaissent depuis toujours les propriétés curatives du Cordyceps sinensis (nom scientifique du yarsagumba). Mais il y a encore une vingtaine d’années, ils se contentaient d’échanger leur cueillette contre des cigarettes ou des nouilles. 

Tout changea en 1993, lorsque trois athlètes chinoises battirent à Pékin cinq records du monde de course à pied aux Jeux nationaux. La suspicion provoquée par ces performances obligea les sportives à se plier à des tests, qui se révélèrent négatifs. En revanche, l’entraîneur apprit qu’elles prenaient un fortifiant naturel à base de yarsagumba. On se contenta de l’explication, qui marqua le début de la notoriété de ce produit miracle dont les cours ne cessèrent alors de monter en Chine, à Singapour et jusqu’aux États-Unis. 

Parmi ses multiples pouvoirs supposés, c’est évidemment à celui de favoriser la libido qu’il doit cet engouement, venant s’ajouter à la poudre de corne de rhinocéros ou au ragoût de patte de tigre... L’explosion du yarsagumba a surtout transformé en quelques années l’économie de tout le plateau tibétain. 

Pour des centaines de milliers de personnes vivant dans les villages reculés du Népal, du nord de l’Inde, du Bhoutan, du Tibet et de la Chine, sa vente est devenue la principale source de revenu. Au prix d’un sacré changement d’habitudes pour ces populations.

Entre les villageois, la compétition est rude

Au Népal, dès les premiers jours de mai, les écoles ferment... faute d’élèves. Les enfants sont en effet un sérieux atout dans la recherche du yarsagumba. Leur vue est meilleure et leur taille leur permet de trouver plus aisément le précieux hybride. L’interdiction officielle du travail des moins de 14 ans ne pèse pas lourd face aux rêves dorés des familles. 

Chaque participant à cette ruée vers l’or doit verser mille roupies (un peu plus de 8 euros) à un comité qui en assure à la fois l’organisation et la sécurité. L’appât de la récolte fait en effet prendre de plus en plus de risques et la compétition entre villageois provoque souvent des bagarres, parfois des morts. 

Cet univers enfiévré attire en outre des pilleurs soucieux de s’épargner la fatigue de la récolte en puisant directement dans les sacs contenant celle des autres. Ils travaillent souvent en bandes et ont la détente d’autant plus facile que les policiers, en raison des difficultés d’accès, mettent souvent plus de quarante-huit heures pour arriver sur les lieux d’un homicide. 

Et si, contrairement au Klondike de Jack London, il n’y a pas de saloons dans cette multitude de campements, on voit, devant des tentes, des jeunes filles maquillées dont les mains ne portent pas les traces d’un travail dans le sol. Le yarsagumba présentera alors l’intérêt, pour l’éventuel prétendant, d’être à la fois monnaie d’échange et remède en cas de défaillance... Tous profitent donc de cette manne qui a déjà permis à l’une des populations les plus pauvres du monde d’accéder à l’électricité, aux soins hospitaliers et à l’éducation. Elle est pourtant désormais menacée.
Pour trouver des yarsagumba, il faut aller toujours plus haut dans les montagnes (Crédit: Jean-Pierre Dalbéra / Flickr)
Pour trouver des yarsagumba, il faut aller toujours plus haut dans les montagnes (Crédit: Jean-Pierre Dalbéra / Flickr)

Surexploitation et réchauffement climatique

La forte demande, chinoise notamment, a provoqué une surexploitation. Ratissés chaque année, centimètre par centimètre, les "yarsalands" se sont appauvris et ces dernières années, les cueilleurs ont constaté une baisse régulière de leur butin. Un fermier s’est ainsi plaint de n’avoir trouvé cette année, avec l’aide de cinq membres de sa famille, que 400 yarsagumba. 200 de moins que l’an dernier et 500 de moins que l’année précédente. En trois saisons, ses gains ont donc dégringolé de 2 700 à 1 200 euros. 

Une autre explication a été avancée récemment par des chercheurs, celle d’un écosystème plus chaud provoqué par le dérèglement climatique. Et ce phénomène serait plus aigu dans les altitudes élevées. Ces scientifiques avouent ne pas savoir pourquoi les chaînes de montagnes se réchauffent plus rapidement que le reste de la planète, mais, pour un biologiste de Boston, il y a urgence à mieux connaître le réchauffement de l’Himalaya avant de voir disparaître sa biodiversité. 

De même que les chercheurs d’or sont contraints de creuser encore plus profondément quand un filon tend à s’épuiser, les villageois népalais montent de plus en plus haut, jusqu’à 4 500, 5 000 mètres d’altitude, afin de trouver des yarsagumba en quantité suffisante. Prenant de plus en plus de risques dans des régions soumises aux éboulements et aux avalanches. Cela mérite bien le prix fort que les Chinois aisés sont obligés de payer pour obtenir leur "Viagra de l’Himalaya"Retrouvez cet article dans We Demain n°16. 

Raphaël Meursault.

Nouveaux transports pour la ville de Katmandou

De nouveaux bus viennent de prendre du service dans la capitale


lundi 20 février 2017

Le concert de Camel

C'était la première fois que l'association Little World Népal France utilisait la salle des fêtes de St Jacut de la Mer prêtée gracieusement par la commune, Madame le Maire nous a fait l'honneur d’être présente pendant la durée du concert, mais nous espérions plus de personnes pour cette soirée, Au total environ 80 personnes ont pu apprécié un très bon spectacle de Camel et de son équipe pendant 2 heures.
 C'est la deuxième fois que ce groupe se produisait pour aider le Népal et nous les remercions pour sa prestation gratuite.
de gauche a droire: Olivier, Léonor, Camel et Isée
                                         
                             




Remise des Khatas aprés le concert par Kanchan

Sourire d' Isée pour Kanchan

Photo souvenir des musiciens plus les membre de LWNF
                                   



mercredi 15 février 2017

Coupe du monde de football 2022 au Qatar

Quand le premier match de football aura lieu a Qatar en 2022,
Tous ces ouvriers morts sur ce chantier de la honte auront il droit a 1 minute de silence????
Depuis 2009 déjà 5000 décès au Qatar 


                                    attendre quelques secondes pour ouverture de la vidéo


jeudi 9 février 2017

Attention changement de date




                                                Journée des plantes à St Jacut de la Mer 
                                                                le 22 Avril 2017


Alors, dès qu'une belle journée se présente,  confectionnez des plants et boutures variés!
Ils seront vendus au profit de LWNF et de ses actions auprès des jeunes étudiants népalais.
Nous comptons sur "petits" et "grands" jardiniers!






mercredi 8 février 2017

Mariage de Madan

L'association souhaite que du bonheur aux futurs mariés.

Madan est le frère de Kanchan actuellement en France à l’université de Renne 2





Kanchan avec son frère Madan a l’aéroport de Katmandou



invitation au mariage de Madan

mardi 7 février 2017

Décret Trump: des réfugiés bhoutanais dans les limbes au Népal




Après deux décennies d'attente, Kalimaya Magar avait donné la plupart de ses biens et s'apprêtait à quitter son camp de réfugiés au Népal pour débuter une nouvelle vie aux Etats-Unis. Et puis est arrivé le décret Trump.
Cette Bhoutanaise appartenant à une ethnie d'origine népalaise devait s'envoler cette semaine, avec mari et enfants, pour le Vermont. Mais le décret signé par le nouveau président américain Donald Trump, qui interdit l'entrée du territoire aux réfugiés, a réduit ses projets en cendres.
"Mon espoir de liberté pour cette vie en tant que réfugiée n'est plus qu'un rêve maintenant", confiait Kalimaya la semaine dernière à l'AFP au camp de Beldangi, peu après la signature du décret.
Plus de 100.000 membres d'une ethnie népalaise à majorité hindoue ont fui le Bhoutan, l'un des plus petits pays au monde, enclavé entre l'Inde et la Chine, au début des années 1990. Ils disent y être persécutés après l'instauration de lois destinées à affirmer l'identité bouddhiste de ce royaume himalayen.
Depuis 2007, et l'échec de pourparlers entre Katmandou et Thimphou, quelque 90.000 d'entre eux ont été relocalisés aux Etats-Unis.
Mais plus de 10.000 d'entre eux vivent encore dans des camps de réfugiés au Népal. Et si le décret anti-immigration de Donald Trump a été suspendu par la justice américaine, pour les habitants de ce camp l'avenir est incertain.
"Nous avons entendu des rumeurs, mais nous n'avons aucune information sur la possibilité de partir ou non, et si oui, quand", a complété lundi Kalimaya Magar.
Contacté, un porte-parole du département d'Etat américain n'a pas précisé la portée de la décision judiciaire sur le programme de relocalisation des réfugiés bhoutanais.
"Nous travaillons en proche collaboration avec nos juristes, les différentes agences et nos partenaires à l'étranger pour appliquer la décision" de justice, a déclaré ce porte-parole.
- Les bagages étaient prêts -
L'ordre anti-immigration signé le 27 janvier par le président Trump, qui ferme au moins provisoirement la porte des Etats-Unis aux réfugiés et aux ressortissants de sept pays à majorité musulmane considérés comme des viviers terroristes, a déclenché chaos et confusion d'un bout à l'autre de la planète.
Le Haut commissariat pour les réfugiés des Nations unies a publiquement dénoncé la décision. Au cours des 120 jours sur lesquels porte initialement le décret (période indéfinie pour les Syriens), plus de 20.000 réfugiés à travers le monde auraient dû être relocalisés aux États-Unis, selon le HCR.
Un juge fédéral a suspendu à titre temporaire vendredi dernier le décret, le temps qu'une plainte soit examinée. Une cour fédérale d'appel a rejeté dimanche le recours du gouvernement américain pour remettre immédiatement en place l'interdiction.
Mais ce ping-pong judiciaire est de peu de réconfort pour Aitemaya Tamang. La veille de son départ, elle s'est entendu dire qu'elle ne pouvait pas rejoindre sa famille sur le sol américain.
"Je suis choquée et inquiète", raconte à l'AFP la jeune femme de 26 ans: "je voulais aller (aux États-Unis) pour travailler, nourrir ma famille et envoyer mon fils dans une bonne école. Maintenant je ne sais pas ce qu'il va se passer".
Aitemaya Tamang avait déjà fait ses sacs, ils gisent maintenant sur le sol de sa hutte. Les étiquettes portent la mention de leur destination, qui semble soudain plus lointaine encore: la Caroline du Nord.

lundi 6 février 2017

Electricité 24 sur 24

La capitale du Népal, Katmandou, possède maintenant l électricité 24 heures sur 24.
En ce moment le gouvernement travaille sur la distribution de l'eau potable dans cette ville et les réseaux des égouts.


dimanche 5 février 2017

Grands travaux dans la ville de Katmandou



Depuis quelques années, le gouvernement népalais a commencé de grands travaux dans la capitale, canalisations pour l'eau dans les maisons et refaire le réseau des égouts.
Nombreuses routes sont coupées à la circulation, mais a en croire les photos, les automobilistes ne respectent pas toujours les signaux.