Pour tous les alpinistes, l’Everest représente encore le Graal, le défi d’une vie. Situé à 8 849 mètres d’altitude, ce sommet ne se grimpe pas n’importe comment. Il faut en effet obtenir des autorités népalaises un permis de passage qui n’est délivré chaque année qu’à un peu plus de 400 grimpeurs chaque année. Car même si son simple nom fait rêver les plus aventureux, l’Everest est un défi physique et psychologique hors norme. Chaque année, de trois à quinze alpinistes trouvent la mort en essayant d’atteindre les sommets. Un chiffre parfois difficile à établir de par la difficulté à retrouver les corps des disparus, qui se retrouvent piégés en haute altitude.
Les hautes altitudes de l’Everest offrent le spectacle époustouflant d’une nature au-dessus des nuages, mais aussi le spectacle plus morbide d’un véritable cimetière à ciel ouvert. En effet, bon nombre des personnes mortes en tentant de gravir l’Everest sont quasi impossibles à redescendre au pied. La raréfaction de l’atmosphère, les vents violents et les températures extrêmes à l’approche du sommet rendent quasi impossible toute intervention de sauvetage, y compris pour les hélicoptères pour lesquels il est quasi impossible d’atteindre cette altitude. Et on ne parle pas des corps ensevelis par des avalanches ou qui sombrent dans des ravins, quasiment impossibles à retrouver. Face à ces dangers et aux coûts très importants que ce type d'opérations entraîne (de 30 à 70 000 dollars), la décision est donc souvent prise de laisser les corps des disparus au sommet. Cette décision entraîne parfois des découvertes tragiques du fait de la fonte des neiges éternelles sous l’action du réchauffement climatique, qui charrie des cadavres disparus depuis parfois plusieurs années.
Chaque année, des milliers de grimpeurs amateurs tentent d’atteindre le plus haut sommet au monde, et certains y laissent tragiquement leur vie.
![[Photos] 21 faits bizarres sur les roux qui sont tout à fait véridiques](https://images.outbrainimg.com/transform/v3/eyJpdSI6ImU4ZjJlODNkMjFjMTJhNGJhYjc1OGUzMmQ5NzA2ZTUwMGZkM2M0YjFhMzkyOWE5NDYwOGNhZTM4ZmRlN2E4NjIiLCJ3Ijo0MDAsImgiOjI2NiwiZCI6MS41LCJjcyI6MCwiZiI6NH0.webp "[Photos] 21 faits bizarres sur les roux qui sont tout à fait véridiques")
Pour tous les alpinistes, l’Everest représente encore le Graal, le défi d’une vie. Situé à 8 849 mètres d’altitude, ce sommet ne se grimpe pas n’importe comment. Il faut en effet obtenir des autorités népalaises un permis de passage qui n’est délivré chaque année qu’à un peu plus de 400 grimpeurs chaque année. Car même si son simple nom fait rêver les plus aventureux, l’Everest est un défi physique et psychologique hors norme. Chaque année, de trois à quinze alpinistes trouvent la mort en essayant d’atteindre les sommets. Un chiffre parfois difficile à établir de par la difficulté à retrouver les corps des disparus, qui se retrouvent piégés en haute altitude.
Des corps trop difficiles à rapatrier depuis l'Everest
Les hautes altitudes de l’Everest offrent le spectacle époustouflant d’une nature au-dessus des nuages, mais aussi le spectacle plus morbide d’un véritable cimetière à ciel ouvert. En effet, bon nombre des personnes mortes en tentant de gravir l’Everest sont quasi impossibles à redescendre au pied. La raréfaction de l’atmosphère, les vents violents et les températures extrêmes à l’approche du sommet rendent quasi impossible toute intervention de sauvetage, y compris pour les hélicoptères pour lesquels il est quasi impossible d’atteindre cette altitude. Et on ne parle pas des corps ensevelis par des avalanches ou qui sombrent dans des ravins, quasiment impossibles à retrouver. Face à ces dangers et aux coûts très importants que ce type d'opérations entraîne (de 30 à 70 000 dollars), la décision est donc souvent prise de laisser les corps des disparus au sommet. Cette décision entraîne parfois des découvertes tragiques du fait de la fonte des neiges éternelles sous l’action du réchauffement climatique, qui charrie des cadavres disparus depuis parfois plusieurs années.
Des cadavres devenus tristement célèbres sur la route de l'Everest
Par le sort de l’ironie tragique, certains alpinistes disparus sont devenus célèbres malgré eux depuis que l'Everest fut dompté en 1953. Ils deviennent ainsi les symboles des dangers de l’escalade de l’Everest même pour les grimpeurs les plus chevronnés. Parmi les plus célèbres d’entre eux, il y a notamment le dénommé Green Boots, la dépouille d’un alpiniste retrouvée sur la face nord de l’Everest, tout près du sommet à près de 8 460 mètres d’altitude. Reconnaissable à ses chaussures vert fluo, ce grimpeur probablement décédé pendant la terrible saison des tempêtes hivernales de 1996 (au cours de laquelle une quinzaine de grimpeurs a perdu la vie) est aujourd’hui le symbole de la difficulté à atteindre la "zone de mort" de l’Everest, où l’air se raréfie et le moindre faux pas peut être fatal.
Qui a gravi le plus de fois l'Everest ?
Le record du nombre d'ascensions réussies de l'Everest est détenu par Kami Rita Sherpa, un guide de haute altitude népalais. Le 17 mai 2023, il réussissait sa 27e ascension. Il établit ainsi un nouveau record qui était de 26e fois qu'il détenait également.
Chaque année, des milliers de grimpeurs amateurs tentent d’atteindre le plus haut sommet au monde, et certains y laissent tragiquement leur vie.
Pour tous les alpinistes, l’Everest représente encore le Graal, le défi d’une vie. Situé à 8 849 mètres d’altitude, ce sommet ne se grimpe pas n’importe comment. Il faut en effet obtenir des autorités népalaises un permis de passage qui n’est délivré chaque année qu’à un peu plus de 400 grimpeurs chaque année. Car même si son simple nom fait rêver les plus aventureux, l’Everest est un défi physique et psychologique hors norme. Chaque année, de trois à quinze alpinistes trouvent la mort en essayant d’atteindre les sommets. Un chiffre parfois difficile à établir de par la difficulté à retrouver les corps des disparus, qui se retrouvent piégés en haute altitude.
Des corps trop difficiles à rapatrier depuis l'Everest
Les hautes altitudes de l’Everest offrent le spectacle époustouflant d’une nature au-dessus des nuages, mais aussi le spectacle plus morbide d’un véritable cimetière à ciel ouvert. En effet, bon nombre des personnes mortes en tentant de gravir l’Everest sont quasi impossibles à redescendre au pied. La raréfaction de l’atmosphère, les vents violents et les températures extrêmes à l’approche du sommet rendent quasi impossible toute intervention de sauvetage, y compris pour les hélicoptères pour lesquels il est quasi impossible d’atteindre cette altitude. Et on ne parle pas des corps ensevelis par des avalanches ou qui sombrent dans des ravins, quasiment impossibles à retrouver. Face à ces dangers et aux coûts très importants que ce type d'opérations entraîne (de 30 à 70 000 dollars), la décision est donc souvent prise de laisser les corps des disparus au sommet. Cette décision entraîne parfois des découvertes tragiques du fait de la fonte des neiges éternelles sous l’action du réchauffement climatique, qui charrie des cadavres disparus depuis parfois plusieurs années.
Des cadavres devenus tristement célèbres sur la route de l'Everest
Par le sort de l’ironie tragique, certains alpinistes disparus sont devenus célèbres malgré eux depuis que l'Everest fut dompté en 1953. Ils deviennent ainsi les symboles des dangers de l’escalade de l’Everest même pour les grimpeurs les plus chevronnés. Parmi les plus célèbres d’entre eux, il y a notamment le dénommé Green Boots, la dépouille d’un alpiniste retrouvée sur la face nord de l’Everest, tout près du sommet à près de 8 460 mètres d’altitude. Reconnaissable à ses chaussures vert fluo, ce grimpeur probablement décédé pendant la terrible saison des tempêtes hivernales de 1996 (au cours de laquelle une quinzaine de grimpeurs a perdu la vie) est aujourd’hui le symbole de la difficulté à atteindre la "zone de mort" de l’Everest, où l’air se raréfie et le moindre faux pas peut être fatal.
Qui a gravi le plus de fois l'Everest ?
Le record du nombre d'ascensions réussies de l'Everest est détenu par Kami Rita Sherpa, un guide de haute altitude népalais. Le 17 mai 2023, il réussissait sa 27e ascension. Il établit ainsi un nouveau record qui était de 26e fois qu'il détenait également.
Mont Everest combien de mort ?
L'ascension de l'Everest est une entreprise extrêmement difficile et dangereuse, et malheureusement, de nombreuses personnes ont perdu la vie en tentant de gravir cette montagne emblématique. Le nombre exact de décès varie d'une année à l'autre en raison des conditions météorologiques, des accidents et d'autres facteurs. À cet effet, depuis 1921, 323 individus ont perdu la vie en tentant de gravir l'Everest, la grande majorité d'entre eux ayant perdu la vie sur la voie normale menant au sommet depuis le Népal. Les 349 derniers mètres de l'ascension sont particulièrement périlleux.
Le "Bilan des morts à l'Everest" est maintenu par diverses sources, y compris le ministère du Tourisme du Népal et des organisations d'alpinisme. En 2019, par exemple, il y avait eu un certain nombre de décès liés à l'ascension de l'Everest, principalement en raison de conditions météorologiques difficiles, de chutes, d'épuisement et d'autres problèmes liés à l'altitude.
