dimanche 31 décembre 2023

Bonne année 2024

 Une année se termine, une nouvelle commence, nous avons réalisé de belles choses cette année, nous avons de nouveaux dossiers devant nous, un petit bonhomme au Népal de quelques mois attend une sérieuse opération, nous allons soutenir cette famille en priorité. L'association est présente depuis bientôt 15, merci aux membres du bureau qui me suivent et soutiennent et merci à vous tous pour vos dons.

À bientôt, prochain grand rendez-vous sera le dernier week-end de Mai pour Léa fête des plantes à l'abbaye de Saint Jacut de la mer.

Bonne année à vous tous en France et au Népal sans oublier tous les peuples qui sont en grande difficulté en ce moment. 




mercredi 27 décembre 2023

Tapindra vous souhaite une bonne bonne année 2024

 


Joyeux Noël

 Hello, Namaste everyone.


Tomorrow is Christmas in France, I would like to wish you all a happy Christmas, especially to my big family in Ghormu.


For us, Christmas is like the Dashain celebration in Nepal, it is a day when families get together and share a meal with gifts.


But you should know that many people in France spend Christmas without family and house. Some people also sleep in the street even in France for the lake of money. Because life is so expensive in France and all over Europe.


Many Nepalese dream France for good work and good money. The reality is something else, without a work visa and without knowing French language, work is impossible in France.


In the streets of French cities you can meet people from India, Pakistan, Africa and other countries and also from Nepal who are asking for help, they are without money, without housing, without family.


We should not forget that Money does not fall from the sky, we have to work hard. Association Little World Nepal France has been helping Nepalese people for theirs studies and also providing family support since long time.


Many people think that I am only one in the association but Baje is not alone here, we have a team. We should work together and we are all volunteers for the association. I can’t drive this association without our team members. So, Today I would like to thank my people in France and also in Nepal who support me in our projects.


I wish you a good Christmas and also a happy new year 2024, hoping to be able to help many families in Nepal.


I tell you true that you are a nice people in Nepal. Work hard, do your best. Life is not easy but nothing is impossible. Keep smiling and take care of you family. 


I wish you better days for New Year 2024


Love and support to all.

Baje

Little World Nepal France



Des nouvelles de nos amis du Québec

 Quel plaisir de retrouver nos amis du Québec,  nous espérons les revoir bientôt au Népal. Il faut se rendre sur le site  si dessous pour connaître le parcours de cette famille. 

En fin 2024 un film sur l'histoire de cette famille sur sortir sur la  chaîne National Géographique .

Suman, Sailla et tout Ghormu  vous aiment énormément. 


https://m.facebook.com/PleinLeursYeux

Pourquoi les cadavres des personnes décédées en escaladant le mont Everest sont-ils laissés sur place ?

 Pour tous les alpinistes, l’Everest représente encore le Graal, le défi d’une vie. Situé à 8 849 mètres d’altitude, ce sommet ne se grimpe pas n’importe comment. Il faut en effet obtenir des autorités népalaises un permis de passage qui n’est délivré chaque année qu’à un peu plus de 400 grimpeurs chaque année. Car même si son simple nom fait rêver les plus aventureux, l’Everest est un défi physique et psychologique hors norme. Chaque année, de trois à quinze alpinistes trouvent la mort en essayant d’atteindre les sommets. Un chiffre parfois difficile à établir de par la difficulté à retrouver les corps des disparus, qui se retrouvent piégés en haute altitude.

Les hautes altitudes de l’Everest offrent le spectacle époustouflant d’une nature au-dessus des nuages, mais aussi le spectacle plus morbide d’un véritable cimetière à ciel ouvert. En effet, bon nombre des personnes mortes en tentant de gravir l’Everest sont quasi impossibles à redescendre au pied. La raréfaction de l’atmosphère, les vents violents et les températures extrêmes à l’approche du sommet rendent quasi impossible toute intervention de sauvetage, y compris pour les hélicoptères pour lesquels il est quasi impossible d’atteindre cette altitude. Et on ne parle pas des corps ensevelis par des avalanches ou qui sombrent dans des ravins, quasiment impossibles à retrouver. Face à ces dangers et aux coûts très importants que ce type d'opérations entraîne (de 30 à 70 000 dollars), la décision est donc souvent prise de laisser les corps des disparus au sommet. Cette décision entraîne parfois des découvertes tragiques du fait de la fonte des neiges éternelles sous l’action du réchauffement climatique, qui charrie des cadavres disparus depuis parfois plusieurs années.


Écrit par Marine Cestes
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VOIR LE DIAPORAMA

Chaque année, des milliers de grimpeurs amateurs tentent d’atteindre le plus haut sommet au monde, et certains y laissent tragiquement leur vie.

Pour tous les alpinistes, l’Everest représente encore le Graal, le défi d’une vie. Situé à 8 849 mètres d’altitude, ce sommet ne se grimpe pas n’importe comment. Il faut en effet obtenir des autorités népalaises un permis de passage qui n’est délivré chaque année qu’à un peu plus de 400 grimpeurs chaque année. Car même si son simple nom fait rêver les plus aventureux, l’Everest est un défi physique et psychologique hors norme. Chaque année, de trois à quinze alpinistes trouvent la mort en essayant d’atteindre les sommets. Un chiffre parfois difficile à établir de par la difficulté à retrouver les corps des disparus, qui se retrouvent piégés en haute altitude.

Des corps trop difficiles à rapatrier depuis l'Everest

Les hautes altitudes de l’Everest offrent le spectacle époustouflant d’une nature au-dessus des nuages, mais aussi le spectacle plus morbide d’un véritable cimetière à ciel ouvert. En effet, bon nombre des personnes mortes en tentant de gravir l’Everest sont quasi impossibles à redescendre au pied. La raréfaction de l’atmosphère, les vents violents et les températures extrêmes à l’approche du sommet rendent quasi impossible toute intervention de sauvetage, y compris pour les hélicoptères pour lesquels il est quasi impossible d’atteindre cette altitude. Et on ne parle pas des corps ensevelis par des avalanches ou qui sombrent dans des ravins, quasiment impossibles à retrouver. Face à ces dangers et aux coûts très importants que ce type d'opérations entraîne (de 30 à 70 000 dollars), la décision est donc souvent prise de laisser les corps des disparus au sommet. Cette décision entraîne parfois des découvertes tragiques du fait de la fonte des neiges éternelles sous l’action du réchauffement climatique, qui charrie des cadavres disparus depuis parfois plusieurs années.

Des cadavres devenus tristement célèbres sur la route de l'Everest

Par le sort de l’ironie tragique, certains alpinistes disparus sont devenus célèbres malgré eux depuis que l'Everest fut dompté en 1953. Ils deviennent ainsi les symboles des dangers de l’escalade de l’Everest même pour les grimpeurs les plus chevronnés. Parmi les plus célèbres d’entre eux, il y a notamment le dénommé Green Boots, la dépouille d’un alpiniste retrouvée sur la face nord de l’Everest, tout près du sommet à près de 8 460 mètres d’altitude. Reconnaissable à ses chaussures vert fluo, ce grimpeur probablement décédé pendant la terrible saison des tempêtes hivernales de 1996 (au cours de laquelle une quinzaine de grimpeurs a perdu la vie) est aujourd’hui le symbole de la difficulté à atteindre la "zone de mort" de l’Everest, où l’air se raréfie et le moindre faux pas peut être fatal.

Qui a gravi le plus de fois l'Everest ?

Le record du nombre d'ascensions réussies de l'Everest est détenu par Kami Rita Sherpa, un guide de haute altitude népalais. Le 17 mai 2023, il réussissait sa 27e ascension. Il établit ainsi un nouveau record qui était de 26e fois qu'il détenait également.


Écrit par Marine Cestes
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Chaque année, des milliers de grimpeurs amateurs tentent d’atteindre le plus haut sommet au monde, et certains y laissent tragiquement leur vie.

Pour tous les alpinistes, l’Everest représente encore le Graal, le défi d’une vie. Situé à 8 849 mètres d’altitude, ce sommet ne se grimpe pas n’importe comment. Il faut en effet obtenir des autorités népalaises un permis de passage qui n’est délivré chaque année qu’à un peu plus de 400 grimpeurs chaque année. Car même si son simple nom fait rêver les plus aventureux, l’Everest est un défi physique et psychologique hors norme. Chaque année, de trois à quinze alpinistes trouvent la mort en essayant d’atteindre les sommets. Un chiffre parfois difficile à établir de par la difficulté à retrouver les corps des disparus, qui se retrouvent piégés en haute altitude.

Des corps trop difficiles à rapatrier depuis l'Everest

Les hautes altitudes de l’Everest offrent le spectacle époustouflant d’une nature au-dessus des nuages, mais aussi le spectacle plus morbide d’un véritable cimetière à ciel ouvert. En effet, bon nombre des personnes mortes en tentant de gravir l’Everest sont quasi impossibles à redescendre au pied. La raréfaction de l’atmosphère, les vents violents et les températures extrêmes à l’approche du sommet rendent quasi impossible toute intervention de sauvetage, y compris pour les hélicoptères pour lesquels il est quasi impossible d’atteindre cette altitude. Et on ne parle pas des corps ensevelis par des avalanches ou qui sombrent dans des ravins, quasiment impossibles à retrouver. Face à ces dangers et aux coûts très importants que ce type d'opérations entraîne (de 30 à 70 000 dollars), la décision est donc souvent prise de laisser les corps des disparus au sommet. Cette décision entraîne parfois des découvertes tragiques du fait de la fonte des neiges éternelles sous l’action du réchauffement climatique, qui charrie des cadavres disparus depuis parfois plusieurs années.

Des cadavres devenus tristement célèbres sur la route de l'Everest

Par le sort de l’ironie tragique, certains alpinistes disparus sont devenus célèbres malgré eux depuis que l'Everest fut dompté en 1953. Ils deviennent ainsi les symboles des dangers de l’escalade de l’Everest même pour les grimpeurs les plus chevronnés. Parmi les plus célèbres d’entre eux, il y a notamment le dénommé Green Boots, la dépouille d’un alpiniste retrouvée sur la face nord de l’Everest, tout près du sommet à près de 8 460 mètres d’altitude. Reconnaissable à ses chaussures vert fluo, ce grimpeur probablement décédé pendant la terrible saison des tempêtes hivernales de 1996 (au cours de laquelle une quinzaine de grimpeurs a perdu la vie) est aujourd’hui le symbole de la difficulté à atteindre la "zone de mort" de l’Everest, où l’air se raréfie et le moindre faux pas peut être fatal.

Qui a gravi le plus de fois l'Everest ?

Le record du nombre d'ascensions réussies de l'Everest est détenu par Kami Rita Sherpa, un guide de haute altitude népalais. Le 17 mai 2023, il réussissait sa 27e ascension. Il établit ainsi un nouveau record qui était de 26e fois qu'il détenait également.

Mont Everest combien de mort ?

L'ascension de l'Everest est une entreprise extrêmement difficile et dangereuse, et malheureusement, de nombreuses personnes ont perdu la vie en tentant de gravir cette montagne emblématique. Le nombre exact de décès varie d'une année à l'autre en raison des conditions météorologiques, des accidents et d'autres facteurs. À cet effet, depuis 1921, 323 individus ont perdu la vie en tentant de gravir l'Everest, la grande majorité d'entre eux ayant perdu la vie sur la voie normale menant au sommet depuis le Népal. Les 349 derniers mètres de l'ascension sont particulièrement périlleux.

Le "Bilan des morts à l'Everest" est maintenu par diverses sources, y compris le ministère du Tourisme du Népal et des organisations d'alpinisme. En 2019, par exemple, il y avait eu un certain nombre de décès liés à l'ascension de l'Everest, principalement en raison de conditions météorologiques difficiles, de chutes, d'épuisement et d'autres problèmes liés à l'altitude.