mercredi 15 novembre 2023

Rencontre

 Ce matin en visitant Boudhanath Stupa dans Katmandou et en portant une veste de LWNF, une jeune femme nous a offert sa boîte de médecine pour que je puisse la remettre au dispensaire de Arrukharka près de Ghormu.

Merci à vous. 




Bonne fête de Tihar

 Toute l'équipe de LWNF vous souhaite de bonnes fêtes de Tihar.

(TIHAR fête très importante des frères et sœurs au Népal)



mardi 14 novembre 2023

LE NÉPAL INTERDIT TIKTOK POUR PRÉSERVER "L'HARMONIE SOCIALE" DU PAYS

 Le gouvernement reproche à l'application chinoise, déjà bannie de plusieurs Etats, de diffuser du contenu malveillant.


Le gouvernement reproche à l'application chinoise, déjà bannie de plusieurs Etats, de diffuser du contenu malveillant.
Publicité

Voilà qui va peut-être froisser le voisin chinois. Le Népal, petit pays himalayen coincé entre la Chine et l'Inde, a annoncé l'interdiction de la plateforme Tiktok afin de "préserver l'harmonie sociale."

La ministre des Communications et des Technologies de l'information, Rekha Sharma, affirme que le réseau social diffusait du contenu malveillant. Selon l'antenne locale de la BBC, elle a précisé que "l'interdiction entrerait en vigueur immédiatement et que les autorités des télécommunications ont été chargées de mettre en œuvre la décision".

Pour la ministre, Tiktok diffuse un contenu qui "perturbe l’harmonie sociale et perturbe les structures familiales et les relations sociales" sans préciser si une ou des vidéos particulières avaient motivé cette décision.

"Restreindre la liberté d'expression"

L'annonce a néanmoins créé des remous, y compris au sein de la coalition au pouvoir. Le chef du Congrès népalais, un des principaux partis du pays et faisant partie du gouvernement, a vertement critiqué la décision, dénonçant une "tentative de restreindre la liberté d'expression."

Controversé, le réseau social chinois Tiktok est déjà interdit dans certains pays comme l'Inde mais aussi dans l'État américain du Montana. Les Etats-Unis ou l'Europe l'ont aussi interdit sur les smartphones des fonctionnaires, craignant un espionnage chinois à travers l'application.

Prisé par les plus jeunes, Tiktok compte environ 15 millions d'utilisateurs actifs en France chaque mois, selon les données de Data.ai

Triste

 


Un matin à l'école

 


Yubraj

 Yubraj Tamang , toujours heureux de retrouver notre médecin,  il est employé dans un très bon hôpital de Katmandou. 

Sur photo, il est en compagnie de Tapindra.



Ghormu le nouveau refuge pour vous accueillir

 


Arrukharka

 Matinée passée à l'école de Arrukharka,  village qui se trouve après Ghormu à environ 4 kilomètres. 

Ce village est complètement isolé pendala mousson en rades glissements de terrain. 

Grande surprise pour nous de voir des classes si propres,  bien équipées en livres, jeux de sociétés etc...


Bravo au directeur de l'école et ses professeurs pour le bon travail réalisé.

Le maire du village participe également dans le bon déroulement de cet établissement. 

Bravo à vous tous.










Bravo au village de Arrukharka pour le grand ménage réalisé dans ce village. Après Ghormu maintenant Arrukharka qui sera le suivant??

 





"Je veux marcher à nouveau et rentrer au Népal" : en Israël, ces victimes oubliées de l'attaque du Hamas

 Des Bélarusses, des Sri Lankais ou encore des Népalais : parmi les 35 nationalités représentées dans l'attaque du Hamas le 7 octobre, certaines victimes sont moins audibles que d'autres.

35 nationalités sont représentées parmi les victimes, les disparus et les otages de l’attaque du Hamas. Parmi eux, il y a des Thaïlandais, des Philippins, des Bélarusses, des Sri Lankais... Ce sont les victimes oubliées du 7 octobre. Leurs gouvernements ont moins de poids que ceux des États-Unis, de la France ou de l’Allemagne, et ces victimes en ont conscience.

Parmi ces victimes, il y a Bidan Sejwal. Ce Népalais est arrivé début septembre en Israël, avec 16 autres étudiants en agronomie, pour un stage dans le kibboutz d’Alumim, tout près de la bande de Gaza. "Je veux marcher à nouveau et ensuite je veux rentrer au Népal", dit-il. Depuis le 7 octobre, ce jeune homme de 24 ans est hospitalisé à l’hôpital de Beer-Sheva au sud d’Israël, pour une grave blessure à la jambe. "Le matin du 7 octobre, nous sommes allés, les 17 étudiants, dans un bunker. Ils ont envoyé une grenade. Dix sont morts. Trois sont rentrés au Népal et deux autres sont avec moi à l’hôpital."

"Je suis ici pour m’assurer qu’aucune des victimes ne reste seule"

Le 17e étudiant est un otage du Hamas. Il s’appelle Bipin Joshi, 23 ans, et tous les jours son grand frère appelle du Népal. Son interlocuteur en Israël s’appelle Alon, un professeur de yoga du nord du pays. Il s’est installé temporairement près de l’hôpital de Beer-Sheva pour s’occuper des rescapés népalais. 

"Il me supplie pour que je l’aide à sauver son petit frère. Je suis ici pour m’assurer qu’aucune des victimes ne reste seule. Ces pays sont oubliés. Leurs voix sont moins audibles que celles des pays riches", déplore le professeur. Alon s’est fait une promesse : ne pas abandonner les victimes oubliées du 7 octobre.

Pas de temps à perdre

 Une arrivée juste en temps. 

Avec la voiture de l'association LWNF, une urgence à été réalisée, Sanjit Lama infirmier de Arrukharka qui a suivi ses études parrainées par l'association a demandé les services de la voiture pour transporter une jeune femme pour accouchement. 

1 petite heure de voiture en partant de Ghormu pour se rendre dans ce village par des chemins de montagnes puis après la prise en charge de cette femme, 2 bonnes heures pour se rendre à l'hôpital de Jijibe, arrivée à midi, naissance  à 13h30 d'une magnifique petite fille.

Encore merci aux personnes qui ont permis le financement de cette voiture.




Au Népal, le chien, chouchou d'un jour

 Des chiens couverts de guirlandes de fleurs et de louanges: le Népal a honoré dimanche le meilleur ami de l'homme, vedette d'un jour qui lui est dédié dans le cadre d'un festival hindouiste.

La deuxième journée de cet événement qui en compte cinq, le festival Tihar, est réservée à l'adoration des chiens en tant qu'agents de Yamaraj, dieu de la mort, et pour honorer leur loyauté et leur compagnonnage avec les humains.

A cette occasion, les amoureux des canidés offrent notamment des friandises et des jouets à leur animal de compagnie comme aux chiens de rue.

La police népalaise n'est pas de reste: elle a tenu une cérémonie en l'honneur de ses effectifs canins, souvent mis à contribution lors des catastrophes naturelles ou pour détecter explosifs et narcotiques.

"C'est une journée particulière", a déclaré Ramesh Pokharel, un responsable de la police du Népal. "Nos chiens nous aident beaucoup, et donc les forces de sécurité sont heureuses de cette célébration", a-t-il souligné.

Le Mexique, inspiré de l'exemple Népalais, a commencé en 2016 à organiser des célébrations identiques.

Mais les associations de défense des animaux estiment que ce n'est pas assez, et que ce traitement de faveur ne devrait pas se limiter à une journée. Il faudrait aussi, soulignent-elles, mettre fin à la maltraitance des chiens de rue, comme leur empoisonnement pour limiter leur population ou prévenir la rage.