Depuis plusieurs mois nous avons mis en place une nouvelle adresse e-mail
LWNFnepalfrance@yahoo.com
Ne pas hésiter à nous contacter pour plus de renseignements concernant notre association
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L'heure du départ appelle déjà la douceur de mes souvenirs rassemblés au village de Ghormu durant mon séjour de 3 semaines à la guest house... Les rires en cascade des enfants, les sourires lumineux des plus grands, l'œil bienveillant de notre hôte, le soleil permanent et le vent sont des facteurs bien nourrissants pour nos cœurs... Et je vous laisse découvrir en faisant un jour cet Inroyable voyage LE DALBHAT!!
Distribution de Supers petits bonnets ainsi que de magnifiques Pull-overs réalisés par de charmantes dames fidèles à l'association depuis plusieurs années.
Grands merci à vous Mesdames
Triste nouvelle : Katmandou devient la 6e capitale la plus polluée du monde, selon le Rapport mondial sur la qualité de l'air 2021.
Jit, voisin de la guesthouse "maison du cœur" vient de réaliser une charrue pour l'entretien de ses champs, la durée de vie de celle-ci est de 2 ans.
C'est toujours avec plaisir que nous accueillons Tapindra à Ghormu, il est venue rendre visite au groupe des artistes bretons.
On parle de plus de 9000 morts sur les chantiers de la Coupe du monde au Qatar, j'espère que de nombreux joueurs vont refuser de participer à cette manifestation sportive
⛔️ Kylian Mbappé dit non aux Paris Sportifs !
L’attaquant du PSG refuse de voir son image associé aux Paris En ligne qui, selon lui, représentent un véritable danger pour les jeunes.
Il en va de même pour la malbouffe (KFC, Coca…). (Le Parisien)
Voici une réponse d'une personne sur Facebook
D’accord et quand il s’agit de prendre l’argent du Qatar ou aller jouer là-bas une cdm sachant que des ouvriers ont laissé leur vie pour construire de stades sur lesquels il va jouer, ça lui pose aucun problème. Moi jvx bien qu’on dise c’est magnifique il pense aux jeunes mais si on est moral faut aller jusqu’au bout…
Merci à Raphaël pour la fabrication d'un four, il nous est utile pour le pain mais aussi pour un bon poulet, Raphaël a passé plusieurs jours à Ghormu ou il a partagé la vie traditionnelle de ce village.
Vous pouvez contacter de Raphaël sur sa boîte mail
contact.raphaelmuller@gmail.com
L'association LWNF démarre un projet pour rendre le village de Ghormu plus attractif, suite à un entretien avec les villageois il a été convenu de mettre un peu de couleur sur les maisons.
En 2015 tout les maisons étaient en pierres (magnifique) mais avec les nouvelles normes de sécurité tremblement de terre, les tôles métalliques sont présentes à partir du 1er étage et certaines maisons sont totalement en tôles ondulées pour des raisons financières.
L'association LWNF vient de commencer l'achat de peintures et un pistolet à peinture.
Le rouge est une couleur porte bonheur, Ghormu va sûrement faire des anvieux aux alentours
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Alerte nouveau cas : 8 nouveaux cas de COVID-19 confirmés au Népal par le biais d'un test RT-PCR. Désormais, le nombre total de cas confirmés de COVID-19 au Népal a atteint 978 317.
Pendant ce temps, 210 patients atteints de COVID-19 se sont rétablis au cours des dernières 24 heures au Népal. Après que ce nombre total de cas récupérés ait atteint 964 608 (soit 98,6 % du total des cas confirmés) au Népal.
Aucun décès n'a été enregistré aujourd'hui.
1 696 RT-PCR ont été réalisées au cours des dernières 24 heures au Népal.
Source : Communiqué de presse, MoHP-Népa
देशको माया लाग्छ तर के गर्नु: Au total, 53 457 personnes ont obtenu un permis de travail au cours du mois de Mars pour un emploi à l'étranger. Sur ce nombre, 48 743 sont des hommes et 4 714 sont des femmes. 😢
देशको माया लाग्छ तर के गर्नु: A total of 53,457 people have taken work permit in the month of Falgun for Foreign employment. Out of this 48,743 are males and 4,714 are females. 😢
Je partage mon histoire afin que d'autres découvrent mon expérience
[Sauf mention contraire, tous les liens renvoient vers des pages Web en anglais.]
Cet article a été initialement traduit à partir d'un entretien en népalais et publié dans l'hebdoemadaire anglais, Nepali Times. Cette version éditée est republiée sur Global Voices dans le cadre d'un accord de partage de contenu.
Plus d’un million de Népalais travaillent dans les pays du Moyen-Orient et on estime que 12,5 % de la population qatarie, forte de 2,8 millions de personnes, est originaire du Népal.
Au cours des dernières années, des milliers de personnes ont été embauchées au Népal pour la construction de stades, d'hôtels et d'autres infrastructures dans la perspective de la Coupe du monde de football de 2022 [fr], prévue au Qatar. Des témoignages font état de conditions de travail déplorables et d'un nombre élevé de décès inexpliqués parmi les travailleurs migrants. Découvrez ici le récit d'un travailleur migrant népalais au Qatar, ayant regagné son pays en 2021 :
« Je raconte mon histoire pour que d'autres personnes puissent apprendre de mon expérience. Je souhaite rester anonyme ».
Trois mois ne se sont même pas écoulés depuis mes adieux à ma famille, et je suis déjà de retour au Népal après un séjour au Qatar.
J'avais reçu la promesse d'un emploi de personnel de chambre dans un hôtel cinq étoiles, mais je me suis retrouvé sur un chantier de construction où je devais porter du matériel lourd toute la journée. J'ai déboursé plus de 100 000 roupies népalaises (soit 837 dollars américains) pour cet emploi, grâce à des prêts et à la vente des bijoux de mes sœurs. Pourtant, ce n'était pas ce pour quoi j'avais signé.
Malgré cela, je n'avais pas d'autre choix que celui d'accepter mon sort. Après un mois de travail physique, je suis tombé malade et j'ai compris que je n'étais pas fait pour ce travail. Mon entreprise ne s'est jamais préoccupée de ma santé lorsque j'étais à l'hôpital ou en convalescence dans ma chambre.
Je voulais rentrer chez moi mais mon employeur refusait de me libérer, et j'ai finalement été contraint de m'échapper sans qu'ils ne sachent. Les employeurs ont la réputation de constituer des dossiers accusant à tort, des personnes comme moi, de vol dans le but d'empêcher ainsi les travailleurs de quitter le pays.
Je n'avais pas de chance
Je m'en suis sorti seulement grâce au soutien de quelques amis Népalais vivant au Qatar. Aucune aide de l'ambassade. Aucun appui de la part de l'employeur ou encore du responsable du recrutement. Juste des Népalais avec un grand cœur.
Ils m'ont beaucoup conseillé sur la démarche à suivre et m'ont offert un trajet en taxi. Ils ont cotisé pour financer mon billet. Ils m'ont appelé pour me dire de garder le moral. Aujourd'hui encore, à Katmandou, mon séjour dans cet hôtel est pris en charge par un compatriote Népalais du Qatar.
À l'étranger, le simple fait d'être Népalais rapproche les gens, qui se mettent alors ensemble pour venir en aide à de simples inconnus – c'est une forme de fraternité impossible à expliquer, une fraternité que je ne pourrai jamais oublier ni honorer.
En dépit de mon infortune, la chance m'a souri à bien d'autres égards. Je suis jeune, j'ai demandé de l'aide et celle-ci est venue spontanément de la part de nombreuses personnes. Cependant, je sais pertinemment que beaucoup de personnes comme moi, vivant une situation encore plus grave, souffrent en silence et se battent.
La situation n'est pas catastrophique pour tout le monde. Je connais d'autres Népalais qui vivent au Qatar depuis des années et sont heureux d'y travailler. C'est comme une loterie, et cette fois, la chance ne m'a pas souri. L'entreprise, dans laquelle j'ai été affecté, s'est révélée être la pire de toutes.
J'ai eu la main heureuse auparavant. J'ai travaillé en Malaisie dans un hôtel pendant trois ans en 2011, et je gagnais 480 dollars américains par mois (57 356 roupies népalaises), ce qui à l'époque représentait une grosse somme d'argent pour moi. À mon retour, j'ai travaillé dans un hôtel au Népal. Mais je devais gagner davantage et cela ne pouvait se faire sans un nouvel emploi à l'étranger. Cette fois, j'ai opté pour le Golfe, mais ce fut un mauvais choix.
Alors que je me trouvais seul dans ma chambre au Qatar pendant ma convalescence et que mes colocataires étaient au travail, je méditais sur beaucoup de choses, j'avais tellement de temps libre. Vous quittez votre maison pour quelques milliers de roupies supplémentaires pour un pays étranger, mais que perdez-vous au passage ?
Des conditions de travail insurmontables
Mon travail au Qatar nécessitait que je me lève à 4 heures du matin pour prendre le bus qui venait nous chercher. Nous emportions de la nourriture préparée la veille, mais parfois elle se gâtait en raison de l'absence de réfrigérateur sur le chantier. Vous ne pouvez pas non plus manger lorsque vous avez faim ; vous mangez uniquement lorsqu'on vous y autorise.
Je devais même demander à mon superviseur l'autorisation d'aller aux toilettes sur le chantier. Le travail se terminait vers 18 heures, mais le temps de rejoindre notre campement, il était 8 heures. Nous devions alors préparer le dîner et notre repas pour le lendemain. Quand nous avions terminé et que nous étions prêts à nous détendre, il était déjà minuit passé et nous nous levions à quatre heures du matin le lendemain.
Cette situation a perduré. Nous avons été déplacés trois fois pendant la courte période de mon séjour. Vous n'avez pas votre mot à dire là-dessus, vous vous contentez de faire ce qui est demandé, de faire ce qu'ils disent.
Je me souviens avoir contemplé des bâtiments luxueux par le passé et avoir souhaité y travailler. Mais il m'a suffi d'une terrible expérience à l'étranger, au Qatar, pour réaliser que ce sont les personnes à l'intérieur de ces bâtiments qui ont de l'importance. Un Népalais travaillant dans ce qu'ils appellent une Wakala (petite boutique) était beaucoup plus heureux que moi.
Alors que je me rétablissais, seul dans ma chambre, impatient de rentrer chez moi, je me disais que jamais plus je n'envisagerais d'émigrer à l'étranger. Que je ferais plutôt quelque chose au Népal même. Je ne saurais expliquer la montée d'adrénaline ressentie lorsque j'ai enfin tenu ma carte d'embarquement entre mes mains à l'aéroport de Doha. C'était une évasion bien planifiée, mais qui aurait pu tourner au vinaigre.
Telle est notre réalité
Cette réalité m'a cependant rattrapé peu de temps après mon retour au Népal. Où est l'emploi ? Que vais-je faire ici ? Qu'est-ce que je vais gagner ? Je dois nourrir ma famille et j'ai des prêts à rembourser. Vous consentez beaucoup de sacrifices pour un emploi à l'étranger, parfois même votre dignité. Mais ces emplois, nous en avons aussi besoin.
Je raconte mon histoire pour que d'autres puissent découvrir mon expérience. Je préfère rester anonyme. En dehors de mon épouse, personne dans ma famille ne sait ce que j'ai vécu à l'étranger. Je souffrais tellement et j'étais si stressé que je ne voyais pas l'intérêt d'inquiéter ma mère malade.
J'ai engagé une bataille avec mon employeur pour récupérer mon argent, et il a fait preuve d'une certaine volonté de collaboration. Il est possible que je sois amené à retourner à l'étranger un jour, et le fait de raconter mon histoire publiquement peut nuire à mes futures candidatures, car je passerai alors pour un « fauteur de troubles ».
Au Qatar, un compatriote népalais, n'ayant pas été payé depuis des mois, a été transféré et accusé d'être un « chef de file » au sein des travailleurs du chantier, pour avoir simplement demandé au directeur une allocation alimentaire en retard.
Voilà notre réalité. Ils préfèrent des personnes discrètes. Celles que l'on peut museler.
https://fr.globalvoices.org/author/veronique-danze/
J'ai passé en 1er en 2073 mais j'ai du arrêté d'étudier pendant deux ans en raison de la maladie de ma mère (un cancer du sein), mais j'ai toujours eu la volonté d'étudier et avec l'aide de LWNF, 3 ans d'études en médecine générale (HA) se sont terminés à partir d'aujourd'hui.
Je viens de terminer 3eme de mes études de médecine
Merci Sanjit
175 népalais ont perdu la vie au village de Langtang en 2015, 7 français ainsi que de nombreux touristes, Langtang se reconstruit le tourisme est primordial pour ces villages de montagne.
La culture est difficile, seulement l'élevage de yacks est possible.
Le Népal est un pays magnifique avec une population incroyablement sympathique.
Ce métier à tissé est utilisé pour réaliser les vêtements traditionnels dans la région de Langtang
Patience à la Guesthouse de Ghormu, le spectacle viendra bientôt, soirée pleine lune au dessus de la chaîne de l'Himalaya.
Petite balade sur le sommet de Ghormu avec l'équipe des artistes de Bretagne et nos porteurs guides.